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Fin de saison pour la 18e édition de la Tournée de la Nuit du Court métrage, avec 13 villes au calendrier partout en Suisse romande et au Tessin. Malgré une année hors norme et difficile pour la culture, la grande majorité des Nuits a, par chance, pu avoir lieu, dans le strict respect de toutes les mesures de précaution nécessaire et avec des jauges plus basses.
Mais vous étiez là, enthousiastes et fidèles. MERCI! Prenez soin de vous, et à l’année prochaine!

PALMARÈS 2020

PRIX RTS DU PUBLIC
Chaque spectatrice et spectateur de la Nuit du Court métrage est appelé·e à voter pour son film chouchou. Le court métrage ayant rassemblé le plus de voix à l’issue de la Tournée gagne un prix honorifique, le Prix RTS du Public de la Tournée.

Plébiscité par les votes du public à la quasi unanimité de chacune des villes de la Tournée de la Nuit du Court métrage, c'est le court métrage suisse Madam Black de Ivan Barge, du programme Miaou!, qui gagne haut la main ce prix honorifique. Bande-annonce

MADAM BLACK
Ivan Barge, Nouvelle-Zélande, 2015, fiction, 11’ (vo ang st fr)
Un photographe de charme écrase par mégarde le chat noir d’une fillette. Il lui explique que Madam Black est juste partie en vacances.

Nuit du Court de La Chaux-de-Fonds
Nous avons eu un coup de cœur et avons choisi Madam Black de Ivan Barge comme meilleur court métrage. Nous avons trouvé l’histoire drôle et le message derrière ce film touchant.
Joyce et Faty (et avec l’appui de Gajol, absente sur la photo)

Nuit du Court de Delémont
Nous avons choisi Zénith, de Camille Tomatala car c'est un film qui nous touche de près. Nous nous sentons concernée·s. Les images sont très belles, vraiment bien pensées. Nous avons apprécié le choix de couleurs, par exemple l'importance du bleu qu'on retrouve à la fin dans la couleur de la bâche. Bien que cette fin soit attendue, nous espérions toutes et tous que ça se passe comme ça.
Corinne, Lina, Tissia, Olivia, Angelo, Gil, Joé, Nolan, Tobias et Paco

Nuit du Court de Neuchâtel
Nous avons choisi Nous ne serons plus jamais seuls, de Yann Gonzalez, car il nous a émus et touchés d’une manière indescriptible. Les émotions que nous avons ressenties étaient viscérales. L’absence de dialogue n’a fait que renforcer les émotions et les musiques collaient parfaitement aux images.
Raphaël, Rayan et Loïc

Nuit du Court de Yverdon
Nous avons choisi Carne de Camila Kater, car étant des jeunes femmes, les thématiques abordées dans ce court métrage, comme par exemple le rapport au corps, ou encore toutes les choses naturelles qui nous arrivent qui sont tabou dans notre société, nous concernent directement. La sensibilité et la force des femmes sont transmises dans ce court métrage de façon authentique et vraie. Le corps fait la femme, mais n'oublions pas qu'elle est capable de raisonner de bien des manières.
Claire, Ileana et Estelle

Nuit du Court de Fribourg
Lunar-Orbit Rendezvous de Mélanie Charbonneau, c’était le coup de foudre. Il nous a complètement emporté avec sa cinématographie et sa manière de nous plonger dans un monde qui était à la fois comique et émouvant. Après l’avoir visionné, nous sommes les trois sorties de la salle avec des étoiles en plein les yeux.
Séraphine, Florette et Brigitte

Nuit du Court de Vevey
Notre choix s’est porté sur The Lonely Orbit, de Benjamin Morard et Frederic Siegel, surtout en raison de son message évoquant de manière spectaculaire les liens relationnels et humains dans une époque où l’importance de la technologie domine les esprits. L’esthétique du film est également brillante et originale, ainsi que son rythme très dynamique, un vrai bijou.
Iman, Jeanne et Aurélien

Nuit du Court de Genève
Pour cette nouvelle édition de la Nuit du Court métrage, nous attribuons le Prix Noctambus du Jury des jeunes, d'une valeur de CHF 600.–, au court métrage intitulé Cat City, réalisé par Victoria Vincent. Ce film d'animation un peu déjanté nous a séduites par son ton amusant et son rythme soutenu, mais aussi parce qu'il va au-delà de cette apparente légèreté et transmet un message plus sérieux au final.
Marika, Michaela, Alessia et Marine

Photo: ©Anna Mestvirishvili